FESTIVALS EN AVIGNON : comme chaque année l’ambiance dans les rues, les places ou dans les théâtres, tout comme les rumeurs qui bruissent quand vous parlez avec les spectateurs et mieux encore, les humeurs de chacun qui se traduisent par des passions verbales et des gestes emphatiques font parties de l’ADN du Festival et du OFF. Marcher dans les rues devient aussi important que les spectacles voir les conférences toutes plus sérieuses les unes que les autres. En un mot, les Festivals sont tout un spectacle… Merci à Valérian Behar-Bonnet, Anthony, Indiayue, Anne Plet, Gérard Escriva et Fiona. (Photos © Alexandre Reynier/The Provence Herald)

FESTIVALS : ambiances, rumeurs et humeurs

Place de la Principale, important lieu de passages situé au coeur de la ville.

La compagnie coréenne See-sun fait de la publicité dans la rue des trois Faucons pour son spectacle “Mirong, le sourire de la perfection”.

Entrée d’un immeuble situé rue Rappe.

Caisse de la Maison de la Poésie, rue Mignard.

Valérian Behar-Bonnet, 29 ans, un des acteurs de la pièce “Les Amoureux de Marivaux” de la troupe Les Mauvais Elèves.

Anthony, 33 ans (à gauche) et Indiaye, 37 ans (à droite) artistes du spectacle “Les vice versa, tout ce qu’on imagine”. Spectacle de mimes et d’expressions avec peu de mots ce qui fait que beaucoup d’anglophones viennent les voir.

La place Saint Didier fermée pour permettre aux bouquinistes de vendre leurs livres.

Place des Corps Saints, un des hauts lieux du Festival et du OFF. On vient pour manger, discuter, échanger, voir les spectacles, en un mot pour vivre trois semaines importantes.

Anne Plet, 21 ans, dans le cadre de son Service Civique, est venue une semaine pour aider une association d’auteurs de théâtre.

Gérard Escriva (à droite) l’âme de la Libraire de la Chartreuse, de Villeneuve les Avignon, installée pour la période des festivals dans l’église des Célestins, place des Corps Saints.

La Nef des Images, dans l’église des Célestins, place des Corps Saints, permet de voir 70 projections des trésors audiovisuelles du Festival. Non les gens ne font pas la sieste. Impossible tellement le son est fort et les acteurs sur l’écran hurlant leur texte. Le moins que l’on puisse dire est que le son de la culture vient à vous…